Retour aux affaires après plus de 4 ans de jachère.
Aujourd'hui, Kobe, son métro, un bout de ses passages couverts, son quartier chinois, son port, son boeuf (pas de lien).
Priorité, aller voir Tetsujin.
Des statues de robot géant à taille réelle il y en a pas des millions sur Terre, autant profiter quand un pays assume sa pop culture, et en plus de nommer une rue d'après un robot de fiction (qui date de 1956), installe les-dits robots en place publique, au milieu de la ville.
Ici donc Tetsujin, à Kobe, au bout de la Tetsujin Road.
(Vous avez déjà eu droit ici même au Gundam RX-78-2 et au Unicorn de Odaiba.)
Oui, il bave.
Direction ensuite le quartier chinois, reconnaissable à sa discrète porte, et aux lanternes rouges suspendues au dessus de la rue.
On y trouve beaucoup de choses intéressantes, dont une foule dense de japonais qui a là son spot de balade du week-end. Parmi les autres choses, du manger. Beaucoup de manger.
Autre chose sympathique sur le port : un "parc d'attraction-centre commercial-food court" mi enfermé mi à l'air libre, coincé entre 2 voies rapides et visiblement des docks.
Un de mes questionnements de la journée était d'ailleurs de calculer la proportion de japonais qui mange quand elle n'est pas au boulot, au karaoke ou au pachinko. Vous avez 3h.
Suite de la balade après un roboratif repas local (chinois) sur le port.
Pour voir la Tour de Kobe, qu'on savait en travaux.
En fait, pour voir la bâche qui entoure l'échafaudage des travaux de la Tour de Kobe.
Bref, on a eu droit à une maquette, pour se faire une idée de la merveille (hum...) qui se cache sous la bâche).
De droite à gauche : le centre commercial, le parc d'attraction (niveau local/mignon/3-6ans sur 20), les docks.
Ah, y a aussi une fenêtre parfaitement rectangulaire découpée dans un rocher, en face de l'eau.
Des vraies, c'était marqué dessus, pas de ces pruniers opportunistes qui fleurissent 15jours avant les stars juste pour faire parler d'eux.
Retour en ville en soirée pour LE resto du voyage.
A être à Kobe, testons le boeuf local, mais pour accéder au resto il faut longer des travaux, où les barrières s'excusent platement du désagrément.
Et voilà le boeuf.
A être à Kobe, testons le boeuf local, mais pour accéder au resto il faut longer des travaux, où les barrières s'excusent platement du désagrément.
Gras.
Préparé devant nous façon teppanyaki. Faut reconnaitre que l'expérience valait le détour.
Avec des fruits en dessert !
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