mardi 31 mai 2011

Tokyo - cliché (one more)



Elle est rouge et blanche pour de basses contraintes de sécurité aérienne.
Elle est bien moins massive que sa grande soeur française.
Elle est légèrement plus haute, parce qu'à construre une copie autant qu'elle la dépasse de quelques mètres.
Elle est moche, oui, voilà, c'est dit.
Mais le point de vue vaut le coup.

Tokyo - Maréchaussée



Après les taxis et les plaques d'égouts, mon troisième péché mignon au Japon c'est les voitures de flics. Directement sorties de Robocop ou de Démolition Man, je trouve qu'elles ont légèrement plus la classe que nos mochetés françaises. Ceci sans aucun parti-pris bien entendu.

Roppongi-Hills - Maman



Au pied de la Mori tower (238m, 54 étages), se trouve une des "Maman" de Louise Bourgeois. Cette arraignée géante salue l'arrivée des visiteurs à la sortie du métro.
Moi j'aime bien.
C'est presque dommage qu'elle bouge pas.

Tokyo - Sumida-gawa



Balade en bâteau le long de la Sumida entre Asakusa et Odaiba.
Profitons de l'heure bleue pour faire quelques photos des immeubles et des ponts qui s'illuminent pour la nuit.

lundi 30 mai 2011

Omikuji (Same player shoot again)



Petite pensée émue pour la forêt amazonienne.
Tu paye.
Tu gagnes un papier.
Tu le lis.
T'es content et tu le gardes.
T'es pas content et tu le noues sur le support le plus proche.

Ces conjurations de mauvais augures forment des murs entiers de papiers noués un peu partout dans les temples. Je ne sais pas si ça marche, mais en tout cas c'est joli.

Tokyo - Asakusa (Sensô-Ji)



Le Sensô-Ji. C'est à Tokyo et à Asakusa ce que le Sacrée-Coeur est à Paris et à Montmartre. Un truc moche, envahissant et blindé de touristes. Passage obligé de toute visite tokyoïte dixit la plupart des guides.
Je vous passe la porte rouge archi connue et sa lanterne géante, pour vous montrer cette pagode à 5 étages qui domine le temple et l'allée marchande qui y mène.

Tokyo - Gare de Ueno (enfin, pas loin)



Au Japon aussi les moines font la quête. Mais discrets et silencieux ils attendent patiemment, pendant des heures qu'une bonne âme mette quelques yens dans leur bol.
Celui là a sans doute passé sa journée au soleil, en face de la gare de Ueno.
C'est bon pour le tein.

NB : le bâton s'appelle un shakujô (batôn de fer-blanc)

Tokyo - Taxi



A New-York, ils sont jaunes (il parait).
A Tokyo, c'est au bon vouloir de la compagnie.
Ici rouge, parfois orange, vert, bleu ciel, marron... tout le spectre y passe.
Je vous passe la collection complète, mais promis vous en aurez d'autres un jour futur.

Ueno - Rodin



Sortie scolaire au parc de Ueno.
Quelques écolières se prètent au jeu de la pose débile pour leur prof joueur.
Fist of Legend.

(non, j'ai rien dit moi)

Omotesando



Grosse artère commerçante de Tokyo, elle est considérée comme les Champs-Elysées japonais. Personnellement je la trouve beaucoup plus triste. Remarquez le scooter qui essaye de gruger (normal, ok) mais aussi la densité de circulation légèrement déséquilibrée.

Kyoto - Nishiki Ichiba



Ce marché couvert propose toute les produits de base de l'alimentation japonaise traditionnelle : Tsukemono, poissons, nouilles, condiments ... Mais aussi des accessoires usuels plus ou moins communs : tabi, getta, noren, tessen, et j'en oublis beaucoup. A voir pour l'ambiance, les gens, les couleurs et les odeurs.

Kyoto - encore et toujours



District de Pontocho, près de Gion.
Oui, sur la gauche il s'agit bien d'un restaurant français qui s'appelle "Au Bec fin".
Pour le reste : admirez l'accord entre la petite rue traditionnelle, la foultitude d'enseignes, et les hectomètres de cables suspendus au dessus de la tête des passants.
Welcome in Japan !

Des fleurs dans Kyoto



Il y a plus désagréable comme balade.
Des rues piétonnes, quelques arbres, des boutiques à souvenirs, des passants en costume traditionnel, et un groupe de Maiko.

Rencontre à Kyoto



En partant du Kiyomizu-Dera, petites rues piétonnes au détours déquelles on peut croiser quelques Maiko qui se prètent volontiers au jeu des photos.
Quelques mots gentils, un sourire, et la voilà qui pose à n'en plus finir.
Quand la lumière et le décor sont au rendez-vous, ça donne ça.

mercredi 25 mai 2011

Kyoto - cliché



J'avais prévenu.

Dans le fond : la pagode du Kiyomizu-dera.
Au premier plan : un prunier en fleur.

Kyoto - Passage obligé (un autre)



Pour l'avoir visité en août, en octobre ou en mai, le Kiyomizu-dera est toujours envahi de visiteurs étrangers, japonais, pèlerins ou écoliers venus découvrir ce grand et magnifique temple installé à flanc de coline sur les hauteurs de Kyoto. Entre les bâtiments, la source d'eau (peut-être) magique, la forêt, le jardin et ses minis lacs, et les rues pietonnes qui en descendent, les attractions ne manquent pas.

NB : le chapeau ciré jaune est aussi inclus dans l'uniforme.

Kyoto - Passage obligé



Le Kinkaku-ji c'est LE spot de Kyoto.
Bon, ok, avec le Kiyomizu-dera.
Et avec Gion
Et avec le jardin de pierres du Ryōan-ji

Bref allez-y, c'est bien !

UFOキャッチャー



Machine à rêve pour les gamins, machine à sous pour les parents, les machines à pince squatent le rez-de-chaussée de presque tous les Gesen (abréviation japonaise donc improbable de Game-Center pour ceuses qui savent pas). On y met beaucoup de pièces sans arriver à chopper une figurine ou une peluche valant la moitié de la dépense, trouvable à dix mètre de là dans une boutique et que le gars d'à côté gagne au 3ème essai. Mais le plaisir est là. Oui c'est du masochisme.

Den-Den Town sous la pluie



Nipponbashi, c'est le Akiba d'Osaka.
Matos informatique, accessoires geeks, goodies d'anime et mangas, jeux vidéo. Tout est réuni dans cette rue pour satisfaire le geek de base.
Sous la pluie, c'est plus fun : merci les reflets pour la photo.

NB : Il y a 3 ans, je me suis refusé à acheter une valise rigide de cabine au design Gundam pour la bagatelle de 200euros. Je le regrette presque.

Osaka-Jo



Non, je ne dirai rien de plus.
Trop facile.

NB : Ce mur d'enceinte a plus de quatre siècles.

Jour de pluie



Dans beaucoup d'école le parapluie aussi fait partie de l'uniforme. Ici il est jaune (me demandez pas si c'est la norme à Osaka, j'en sais fichtre rien), et l'uniforme noir ou bleu marine. Remarquez les piscines sur le toit de l'école. Quand on a pas de place au sol, on s'arrange comme on peut.

Chat nippon



Gardien du château d'Osaka se splendide greffier qui semble avoir fait la guerre est à l'image des autres chats errants japonais : calme, zen et pas stressé. On en a croisé quelques uns aussi bien à Tokyo, qu'à Osaka, Kyoto ou Hakone et leur énergie débordante s'est toujours exprimé par une fuite précipitée de trois pas molassons ou par une agression caractérisée de frotte frotte contre la jambe. Furieux on a dit.
Celui là, vu sa tête, on y a pas touché. Jet d'intimidation réussi.

Osaka by night, episode 2 (ça se tient)



Les mégalopoles japonaises sont traversées par des voies rapides aériennes. Ces ponts, ces échangeurs et ces tunnels font partie intégrante de la cité et il n'est pas rare quand on se balade en ville de se trouver dans l'ombre d'une structure improbable, d'un pilier de béton soutenant 2 voire 3 route à 4 voies, le tout s'élevant à plus de trente mètres du sol. C'est un peu surréaliste quand on est habitué à nos jolies villes bien propres, plates et dégagées, ponctuellement perturbées par une ligne de métro à ciel ouvert. Mais ça fait de jolies photos de nuit. (Promis, un jour je vous mettrai l'étoile à cinq branches qui s'étend au pied de la tour de Tokyo, un jour).

Osaka by night, episode 1

Une fois n'est pas coutume (mais on est pas à l'abri) je vous en mets deux (peur de rien).





J'ai toujours aimé les ponts, les lumières, et les photos de nuit. Merci Osaka pour m'offrir des sujets comme ça, la plupart des ponts étant éclairés de lumières changeantes. A la tombée de la nuit, c'est Disney Land :) et les gamins comme moi sortent trépied et grand angle afin de capter ces instants, ou dumoins d'essayer.

Ruelle



Peu à peu vouées à disparaître, ces petites ruelles sont encore massivement répendues dans les grandes villes japonaises. Les établissements qui les composent sont des izakayas et des restaurants d'habitués (d'une 10aine de place) où les étrangers sont rarement bien accueillis. Si vous voulez rencontrer les vieux du quartier qui marmonneront sans doute des choses pas très sympathiques dans un patois imconpréhensible en vous voyant débarquer, allez-y, mais c'est un coup à plomber l'ambiance.

Quai de gare



Les japonais font là où ont leur dit de faire. Ca s'appelle de la discipline (et accessoirement de la correction et de la politesse, mais bref). Donc, afin d'éviter les bousculades, les resquilleurs, les retards et tous les désagréments liés à une porte de train encombrée entre le flux sortant et la chahut entrant, ils ont mis en place deux choses liées :
1 - les trains s'arrêtent là où il faut sur le quai (au centimètre près ou peu s'en faut).
2 - un marquage au sol indique où doivent se mettre les voyageurs en attente afin de ne pas gêner le passage autour des portes.
Et ils s'y tiennent.

(pensée émue pour les vaines tentatives de marquage sur la ligne 13, par exemple :) )

Hakone Gongen, la suite



Dans l'ordre : téléphérique, arrivée au lac, bateau pirate (si), Accostage près de Moto-Hakone, balade sur la berge jusqu'à la torii rouge (ça tient du pléonasme en fait), montée vers Hakone Gongen dans la forêt, et retour vers la ville par ce chemin boisé et balisé de lenternes. Zenitude absolue.

mardi 24 mai 2011

Celui là est d'eau



Hakone Gongen, l'un des plus grands et plus anciens sanctuaires shintoistes de cette région date du VIIIe siècle. Caché au coeur des cèdres au nord de Moto-Hakone, il se trahit par une magnifique torii rouge qui prend un bain de pieds sur les rives du lac.
Isolée dans le coin d'une cour intérieure, cette fontaine attire l'oeil.
J'aime les dragons, on se refait pas.

Fuji-san



La campagne de Chūbu. Vallonnée et dominée par le Fuji.
Régulièrement caché derrière les nuages, plus occasionnellement derrière un poteau, un arbre, une cheminée, une usine, un pont (la liste est longue, mais comprends qui peut), il se laisse faire et pose avec plaisir, drapé dans son habit nuageux.
Papy a les cheveux gris mais domine encore sereinement son monde.

Ginza ou pas loin



Promis je ne la fais pas et vous laisse juges de la légende à ajouter à cette photos.
Pour moi c'est simplement un joli contraste et un ensemble de lumières qui se marient à merveille. Quelques promeneurs, la vie nocturne commence à s'éveiller pour une photo que je me refuse à redresser même si elle est franchement bancale.
De mémoire et hors cadre il y a sur la gauche une salle d'arcade fort sympathique.
Touriste et gamer, oui :)

Marunouchi - Rame



Pour rester sur la Marunouchi, et sans quitter le quai, voilà une rame.
Les stations tokyoïtes étant souvent parcourrues par de multiples lignes différentes, chaque rame apparitent à une ligne spécifique et arbore la couleur correspondante. Pas d'erreur (c'est Lesieur). si vous voulez prendre la ligne verte que c'est un train orange qui se présente, y a un bug quelque part.

Marunouchi - Quai



Un quai de métro perdu dans Tokyo (Station Yotsuya, Marunouchi Line, en direction de Ginza et Ikebukuro). Belle lumière pour la photo (16h au mois d'octobre, début de coucher de Soleil) et merci à cet employé d'avoir gardé la pose. Gants blanc et costume impécable (je ne ferai aucun commentaire sur la cravate). Remarquez le sol propre, les portes de sécurité non taguées, les néons entretenus et tous fonctionnels et les afficheurs clairs et en état de marche.
Bref, débarquer à Roissy et prendre le RER B peut pousser au suicide, ça me semble évident.