Deux salles, deux ambiances aujourd'hui.
Pendant que les filles font shopping (elles protestent, elles étaient au jardin), les gars sont en vadrouille.
Je vous épargne le sentier forestier plein de boue (parce que bon, vu la pluie des derniers jours, fallait pas s'attendre à des merveilles), pour sauter directement
- de la gare d'arrivée,
(donc bucolique, champêtre, et dans son jus des années 50)
Et ainsi arriver à un temple.
(A priori la pierre est bénie, ou elle bénie des choses)
(Les pièces de monnaie étant des 5yens, supposées porter bonheur).
(A priori la pierre est bénie, ou elle bénie des choses)
(Les pièces de monnaie étant des 5yens, supposées porter bonheur).
(Oui j'ai toujours un prix sur les parenthèses)
(et j'en profite)
(et j'en profite)
(et ça me fait marrer).
Pour faire durer le suspense, voilà ses sandales.
(Oui, on a profité du temple avec au moins 3 bus d'écoliers/collégiens qui venaient pour la même chose que nous.)
Retour en ville, avec la géométrie électrique locale.
Et une fleur non identifiée.
Dans le très joli jardin d'un autre temple.
Temple où visiblement il est d'usage de transformer des coquilles d'huître servent de 'tablette' votive.
Pour oublier ces coquilles, voilà les vraies tablettes votives du temple, en reflet dans la vasque de recueil des eaux de pluie, parce que pourquoi pas.
Et parce que c'est le thème du voyage, un Fudō.
(Je vais me faire une galerie, promis).
Et continuons avec le jardin zen du même temple (Hasedera, si vous le cherchez).
Quant à la porte d'entrée du temple, elle conclura cette série parce que j'adore et la lanterne et le pin qui la domine.
(Je vais me faire une galerie, promis).
Quant à la porte d'entrée du temple, elle conclura cette série parce que j'adore et la lanterne et le pin qui la domine.
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