samedi 4 mars 2017

Japon 2017 - Jour 14

Trois activités principales aujourd'hui : orgie, culture, courses.

Pour l'orgie, il faut prendre le train, et aller au fin fond de la banlieue.
Donc petite vue depuis le quai.
Je ne vois pas ce qui vous fait dire qu'il y a overdose de pubs et enseignes.

Sortir du centre de Tokyo, c'est traverser des rivières, et y voir des choses originales.
Là, un monsieur fait du ski-nautique.

La banlieue de Tokyo, c'est aussi des maisons à taille humaine, avec des toits bleus.
C'est joli un toit bleu.

Et à l'arrivée, Ichigo-gari.
Littéralement "chasse à la fraise".
15€, 30minutes, et une serre à disposition. Au prix des fruits au Japon, c'est pas si cher, et c'est une expérience très sympa. À faire une fois, tous les 10ans, le temps d'éliminer l'occurence précédente.
Pour cause d'un départ un peu trop rapide, je me suis arrêté à 60, mais c'est déjà pas mal.

Oui, ils les font pousser en hauteur, ça évite de se baisser.

Retour par le même chemin. Les rails, enfin, la voie fait un peu montagnes russes, mais la vue est sympa, surtout dans un train sans conducteur.

Les terrains d'entrainement de Baseball sont occupés, samedi oblige.

Musashi pointe le bout de son nez, on approche de l'arrivée.

Direction Shimbashi pour le NHK Broadcasting Museum.
Le musée de la diffusion de la NHK.
En gros, "musée de l'histoire de la diffusion de TF1".
Mais avant ça, Shimbashi, c'est une locomotive à vapeur qui trône devant la gare.

Et la Tokyo Tower, visible non loin de là.

À côté du musée, un temple nous offre des escaliers plutôt vertigineux.
Heureusement pour nos genoux, on est arrivés de l'autre côté.

Quant au musée, bonne surprise, il est gratuit.
Il présente un historique de la TV au Japon, et des grands évènements qui l'ont fait progresser (les JO de 64 y sont pour beaucoup).
Pas mal d'équipement vintage sont présentés.
Tel ce magnétophone à bande.

Ou cet ancêtre de GoPro.

Quand aux mascottes d'époque, je vous laisse admirer le regard malsain de ce lapin.

Une reconstitution d'un intérieur japonais des années 60 illustre une partie de la visite.

Une heure plus tard, on est quand même content que l'entrée soit libre, parce que c'était pas foufou.
Mais voir les équipements d'époque était sympa.

Soirée à Akihabara, pour changer.
Et se ruiner en maquette pour cause d'une boutique où tout était à -20%, sauf "ce qui est marqué -30%", dixit le vendeur.

Pour cause de mains pleines de maquettes, je vous remet une photo d'Akiba le soir.
Et non, c'est pas la voiture de Starsky et Hutch, mais juste un taxi.

Demain, Odaiba et sans doute (encore) Akiba pour finir le voyage.

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