dimanche 12 novembre 2017

Japon 2017 bis - Jour 11 - Shinsekai et emplettes

Pour finir avec "Dessine moi Osaka", la matinée fut dédiée à Shinsekai, littéralement le nouveau monde. Il s'agit d'un quartier populaire construit tout début 1900 pour impressionner par sa modernité, détruit pendant la guerre et reconstruit ensuite dans un élan de cohésion nationale.

C'est resté enfoui dans les années 60, et le quartier en joue beaucoup. Au milieu de Shinsekai, Tsutenkaku, la tour locale qui assume avoir piqué l'idée de la tour Eiffel, qui était à l'époque accessible également par funiculaire parce que trop de sensations fortes.


En plus d'avoir un point de vue marrant sur la ville (haut mais pas si haut), monter dedans permet d'en connaitre plus sur son histoire, mais aussi de visiter le musée de Glico (inventeur des mikado, oui oui, les gâteaux, ainsi que de leurs homologues salés les Pretz) et le musée de Kinnikuman (manga et anime sorti chez nous sous le nom Muscleman avant d'être censuré parce qu'on ne fait pas la différence entre droite et gauche) dont vous trouverez ici le synopsis. Ça vaut le détour :)

Une fois tout ça intégré, il était bien temps de gouter les spécialités locales : Kushikatsu et Takoyaki.
Le premier est un type de friture (mais j'ai trop mangé des légumes), le deuxième des beignets de poulpes. Je laisse les Takoyaki à ceux qui aiment les tentacules et....

En vrac : du boeuf, du poulet, du lotus, des champignons, des poissons, du poireaux, des oignons, de langue d'agneau, des pommes de terres, et j'en oublie surement. Best of the best (tellement qu'on en a repris en plus de ce que vous voyez là) : oeufs de cailles et saumon.

De base on avait pas pensé commander tout ça, on avait choisi de prendre un set de 10 à deux, raisonnables quoi. On avait juste pas fait attention au fait que le set de 10 était un set recommandé, et que donc les 10 que nous avions choisies, on les avait prises en plus. Ajoutez à ça les takoyaki du monsieur, et les takoyaki chou-cream du dessert (je ne pouvais pas laisser passer, en fait ce sont juste des profiteroles, perception), en s'en est tirés pour une 30aine d'euros max en tout. #Japon.

Petite salle d'arcade dans le thème croisé sur le chemin : les bornes indiquaient la date de sortie du jeu à chaque fois, et ils avaient un petit corner SHMUP... un peu trop rétro pour moi :p
Après avoir mis Adam dans son RER, direction Osaka Eki pour un peu de découverte shopping : un lieu qui rassemble un Tokyu Hands, un Pokemon Center et une Ghibli store ne peut pas être foncièrement dénué d’intérêt (Bonjour Monsieur le Banquier, je vais bien et vous ?).



Enfin, ça reste les vacances, donc rentrage et méga Gorogoro : 

The title of this article is “Acting Goro-Goro”.
Here, the heavy object that “rolls” is a human body!  Imagine a man lying on a floor, not at rest, but rolling to the right, then rolling to the left.  Then again rolling to the right, rolling to the left. If you see such a man in the living room, for all practical purposes, what do you think this man is doing?
The correct answer: doing nothing.
Of course, in a more realistic situation, he probably does not roll left and right physically.  But for a bystander, say his wife, if he is just lying and doing nothing, he appears just as good as rolling around in the living room for no purpose.
Hence “ゴロゴロする(go-ro-go-ro-su-ru)” or “act goro-goro” means lying (awake) but not doing anything useful and wasting time.  For example, stretching on a couch and flipping channels for a long time is definitely considered as acting goro-goro.
ゴロゴロしてないで 買いものにでも 行って来て。(go-ro-go-ro-shi-te-na-i-de ka-i-mo-no-ni-de-mo i-tte-ki-te) Stop acting goro-goro, and go to the grocery or something.
Extending from that meaning, one can also use this expression simply for doing nothing and just relaxing.

Petit diner léger à base de corn soup et de chou cream et go, demain, musée d'ethnologie !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire