Afin d'occuper au mieux les deux jours polanifiés dans le coin, on a pris un guide.
Il est venu nous chercher à la gare, nous a mené à notre hôtel pour qu'on dépose notre bardas, puis nous a baby-sittés pendant deux jours non-stop.
C'était dense, intense, mais bien cool.
Découverte de la ville, donc. A pieds, comme d'habitude, même si à Hiroshima c'est le (vieux) tram qui domine.
Le delta laisse aussi la part belle aux ponts et bateaux.
Instant solennel autour du Dôme, dernier vestige gardé en l'état depuis plus de 60ans.
Petit détour par le château (kif kif tout pareil avec ceux de Kyoto et Osaka. Cf précédent voyage dans les pages précédentes).
Les choses sérieuses commencent maintenant.
Hiroshima c'est aussi des petites villes sympas juste à côté.
On traverse donc tout ça à pattes pour aller voir de jolis temples de l'autre côté du fleuve.
Nouveau panorama.
Et un chat du japon (neurasthénique donc) parce qu'il en faut bien un.
On finira la journée (fatigués) dans un restau à Okonomiyaki qui vaut le détour.
Cuisinés sur une plancha géante devant nous, ils se sont en plus payés le luxe d'être super bons (et copieux)
Demain, la suite à Miyajima. L'île qui fait fasse à Hiroshima. Sur laquelle on n'a pas droit de mourir. Du coup, vous savez qu'à la fin de l'épisode suivant, nous serons tous là. Parce que les pieds, ça compte pas.
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