mercredi 26 juillet 2017

Budapest 2017 - Jour 3

3ème jour, 2ème complet, dernière nuit sur place.
Demain, le post sera fait depuis Paris, après vidage de valise et lancement de lessive, si j'ai le courage.

Mais avant ça, place à Budapest.
Au détour d'une rue, un bar a visiblement décidé de protéger les poulpes, en fournissant des armures complètes.
Point déco originale.

Un peu plus loin, le musée des arts décoratifs nous offre une vue direct sur sa toiture colorée.
Point y en a un peu plus je vous le mets quand même.

De l'autre côté du Danube, c'est l'Université polytechnique et économique qui profite de la berge.
Point ils sont pas trop mal logés les étudiants, et sans APL en plus.

Remontons vers le nord pour aller dans cet édifice qui abrite le grand marché couvert de la ville.
De loin on dirait une gare, de près aussi.
Point j'ai deux couleurs de briques, j'en fais quoi ?

Et l'intérieur, bah c'est des halles. Grandes. Toutes en structures métalliques.
Point le pavé est pas droit, c'est perturbant.

Au sous sol, un couloir de bouchers et poissonniers.
Au rez-de-chaussée, les primeurs, charcutiers, épiciers ...
A l'étage, sur les galeries qui surplombent les allées, des 'artisans' et des échoppes où l'on peut se restaurer.
Pour les artisans, soyons clairs, ça rappelle les marché de noël par chez nous (le made in china un peu mieux caché).
Pour la restauration, c'est simple et fonctionnel, un peu comme un matsuri japonais. Pour 10€ on peut récupérer une assiette pleine de saucisse+patates, chou, légumes, pâtes en sauce, ragout+boulghour. Boisson incluse bien sûr. C'est pas raffiné pour un sou, mais ça cale et ça reste dans le thème.
Point couleurs saturées.

Une des multiples épiceries.
Point anti-vampire.

Une autre, fusion entre épicerie et primeur.
Point les légumes oubliés ils auraient dû le rester.

Production locale : les pickles.
Comme au Japon, des légumes marinés dans des trucs. Là c'est visiblement des cornichons.
Point mets un personnage en bocal pour tenir compagnie aux cornichons.
(Oui tout se mange).

Variété endémique ?
OGM non avoué ?
sur l'étiquette : haricots longs.
Point scoubidous de légumes.

Une fois le rez-de-chaussée exploré, direction l'étage. On commence à avoir faim, quand même.
Point de vue en hauteur.

Le hongrois aime peindre, et quand c'est pas sur des matriochkas ou des couverts à salade, c'est visiblement sur des boules de noël, voire des oeufs.
Point j'aimerais bien peindre comme ça, mais pas là dessus.

Au dessus de l'entrée des halles, un restaurant a pignon sur rue et occupe une bonne partie de la mezzanine. 3 musiciens animent l'espace.
Point découvre un nouvel instrument. (Cymbalum, après recherche).

Quand le hongrois ne peint pas, il brode.
Des chemins de table, des centres de table, des napperons...
Plein.
Point bon goût numéro un.

Et en dernier recours, quand ni la peinture ni la broderie ne le tente, il colle des brillants sur des figurines animales.
Plein aussi.
Point bon goût numéro deux.

En parlant de matriochkas...
Et je vous passe celles à l'effigie de personnages célèbres. Sur certains étals, Freddy Mercury côtoie Poutine et Trump. Il en est ravi, j'en suis sur.
Point accumulation.

Suite de la balade à l'extérieur une fois nos estomacs remplis.
Pas mal de pubs ont des devantures originales. Certains plus que d'autres.
Point j'ai collé des ailes à un chat, parce que pourquoi pas.
Sur une place, un bouquiniste ambulant a installé sa roulotte. 1€ le livre (à peu près).
Point 451.

Et suite de la collection street-art de Budapest. Là le mur d'un parking.
Point dessin improbable.

Et encore un peu d'architecture avant de finir la journée.
Point cube. (un voxel ça s'appelle).

Fin de la journée photo pour cause d'orage approchant.
Point fais confiance au breton, planque toi.

À la prochaine !

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