lundi 27 février 2017

Japon 2017 - Jour 09

Mes pieds soufrent, épisode suivant.
Le pire c'est que c'était pas prévu.

Deux heures de Shinkansen pour commencer la journée, et arrivée vers midi à Okayama, première de nos 3 étapes de chemin retour vers Tokyo.
Nous y attendent, un château, un jardin et un musée avec une collection féodale sympa (armes et armures donc ^^).

On accède au château en ligne droite depuis la gare, en longeant une assez grande rue.
Qui dit grande grue, dit transports en commun.
Et donc, en l'occurence, un bus qui louche.

Mais aussi des tramways.
De toutes époques.
En noir.

Ou en blanc et bleu.

Un peu plus loin, la décoration des immeubles a le mérite de l'originalité.

Et voilà le château.

Enfin, la version de 1966 du château.

En béton.
Reconstruit en partie après qu'on bombardement l'ait rasé pendant la guerre.

Il est à peut près dans sa forme d'origine (que le donjon principal a été reconstruit), et dans ses couleurs d'époque.
Le château du corbeau noir, il se fait appeler.
Merci au piaf qui passait par là.

Ensuite, parce que les visites express de château en béton ça va bien deux minutes, direction le jardin voisin, sur l'île.
Un peu triste pour cause de fin d'hiver (donc pas de pelouses verdoyantes ni de massifs de fleurs exubérants), il présente quand même quelques points d'intérêts sympa.

Et des pruniers en fleur, pour pas perdre le fil d'un jour sur l'autre.

Tiens, un corbeau noir à l'horizon.

À Okayama, les musées sont fermés le lundi.
On vient de l'apprendre.
Donc pas de musée, mais on a repéré sur la carte un grand passage couvert.
Allons-y de ce pas.
Et gag, un ptérodactyle surplombe une des allées.

Un peu plus loin, ce sont des statues "Alice au pays des merveilles" qui décorent le trottoir.

Le lundi après-midi c'est visiblement assez calme dans le quartier.
Ça nous fait une balade d'autant plus tranquille pour se remettre de l'agitation du temple d'hier.

Retour sur la grande rue à côté de la gare, pour découvrir la version moderne des tramways du coin.

Et finir la soirée dans un énorme centre commercial qui ferait passer les Quatre Temps, à la Défense, pour la supérette du coin. La version crade, bien sûr.

Demain, Nagoya.

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