Priorité est donnée au Ginkaku-ji (pavillon d'argent qui n'a d'argent que le nom, vu qu'il n'a jamais été fini et n'a donc pas sa couche argentée).
Superbe jardin, petites mares, bambous, mousses, et soleil de plomb (oui, à 10h du matin).
Certains sentiers donnent envie d'être arpentés avec plaisir.
Petit jardin intérieur, avec un point d'eau, quelques carpes et des lotus. Dommage que ce soit un temple, parce qu'en faire un coin lecture/sieste me semble une idée judicieuse.
À dix mètres de là, un jardin zen est caché derrière un des bâtiments. Il arrive en deuxième dans la liste des spots à sieste.
Mousses interdites. On se contactera donc des graviers. Le bruit est marrant, mais j'aurais préféré pieds nus dans la mousse.
Un bruit d'eau nous appelle au fond du jardin. Une charmante cascade alimente un petit ruisseau.
Mi-septembre, c'est déjà un peu l'automne. Les érables commencent à roussir.
Fin du chemin de la philosophie en bus (parce que 4 temples plus tard, on va pas y passer a journée non plus) pour aller au Kiyomizu-Dera. Ayant déjà fait 4 fois la visite, je m'abstiens. Mais ça ne prive pas de faire une petite photo de la porte principale, d'autant que le quartier est assailli de damoiselles en yukata.
Retour vers Kyoto, de l'autre côté de la rivière des canards (Kamo-Kawa, c'est son nom, ça s'invente pas).
Et trainer dans les petites ruelles de la ville permet de tomber là dessus. C'est toujours un rencontre originale et incongrue.
Fin de journée au Yasaka-jinja, le temple principal de Gion (quartier historique traditionnel de Kyoto) qui a l'avantage d'être ouvert h24, ce qui permet de faire des photos habituellement impensables.
Demain, pas mal de transports. On commence notre périple dans les alpes japonaises, à Takayama.
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